Tendance

Je succombe gentiment à la tendance de la présentation en verrine, ça fait classe et ça vous sublime aussitôt un truc assez simple finalement.
Invitation copains hier soir, mais copain à qui j’ai envie d’en mettre « plein la vue », histoire de remettre les choses à leur place. Au menu : velouté d’avocat au pamplemousse, filet mignon au gingembre (un classique ici) et en dessert un tiramisù aux fraises (merci Marie-Laure).
velouté d’avocat
Verrines d’avocat au pamplemousse
Pour 4 verrines (en entrée légère pour 4 personnes)
2 avocats bien mûrs
1 pamplemousse
quelques crevettes décortiquées
paprika
Tabasco (facultatif)
sel

Presser le pamplamousse. Eplucher les avocats, les mixer avec le jus de pamplemousse (en fonction du degré de maturité des avocats et du jus rendu par le pamplemousse, ne pas tout mettre, ajouter petit à petit pour avoir la bonne consistance). Saler, ajouter éventuellement du tabasco et mixer jusqu’à obtenir une texture très lisse.
Présenter en verrine, décorer avec des crevettes et poudrer de paprika.

Tiramisù aux fraises
Tiramisù aux fraises
Pour 4 belles verrines (ce sont des Guy Degrenne)
3 oeufs
190 g de mascarpone
10 biscuits à la cuillère
350 g de fraises
35 g de sucre
un peu de rhum

Laver et équeuter les fraises. En mixer 80 g pour faire un coulis. Détailler le reste, sauf 4 belles fraises en morceaux. Réserver.
Mélanger les jaunes d’oeufs avec le sucre jusqu’à blanchiment. Ajouter le mascarpone et mélanger jusqu’à consistance homogène. Battre les blancs en neige ferme et les incorporer délicatement à la préparation.
Tremper les biscuits dans le coulis de fraises allongé d’un peu de rhum (ou d’un mélange eau-rhum).
Dresser : une couche de biscuits, un peu de crème, des fraises, une couche de biscuit et terminer par de la crème. Décorer avec les fraises réservées. Laisser au frigo au moins 2h.

Vive l’organisation

Les invitations copains en semaine, ça demande un poil d’organisation, surtout depuis que Pandinou est là … avant, il suffisait que je parte un peu plus tôt du boulot, et tout était prêt … maintenant, plus difficile à réaliser, et avec le bain et le repas du monstre à préparer …
Bref, tout ça pour dire que j’ai pas mal couru hier pour que tout soit nickel pour ce soir. Au menu : cuisine du Moyen-Orient, les invités apportent le dessert et un vin à découvrir …
Après avoir pioché dans ma base des choses éprouvées à préparer à l’avance, être passée chez Carrefour pour le ravitaillement, hop, me voilà installée …
Au menu : caviar d’aubergine et salade de pois chiches épicée, accompagné de pain marocain, puis tajine de keftas.
Vive la machine à pain pour la préparation de la pâte, pour le reste, se faire les muscles au hachoir à main pour les boulettes et pleurer comme une madeleine à hacher des oignons …..
Dernière tâche pour ce soir : dresser la table, prendre des photos et quand les invités sont partis, blogger les recettes ….

Salade grecque

Petite salade fraîche pour dimanche orageux … accompagner d’un petit verre de rosé bien frais.

Salade grecque
Pour 2 affamés ou 4 en entrée
1 concombre
3 tomates
des olives
un bocal de féta marinée (marque champion mais pas bien compliqué à faire soi-même – une recette d’ici moins de pas longtemps) – garder l’huile
vinaigre

Détailler le concombre épluché en cubes de la taille des dés de féta. Le mettre à dégorger une vingtaine de minutes avec du gros sel.
Pendant ce temps, égoutter la féta, détailler les tomates en dés, égoutter les olives. Mettre tout cela dans un saladier, poivrer. Préparer une vinaigrette avec l’huile de marinade, et du vinaigre. Ajouter le concombre dans la salade et assaisonner.
Placer au frais avant de servir.

Pour vider le congel …

Axiome de base : l’été arrive, faire de place dans le congel pour y stocker le produit de la pêche de Panda.
Ok, donc faire l’inventaire du contenu des tiroirs, et l’inventaire de ce qui traîne dans les placards.
Sort de toute cette dépense d’énergie un petit plat mijoté comme on les aimes, facile à préparer, avec des trucs qu’on a (presque) toujours sous la main, réchauffable, qui peut attendre (pour les invits à l’improviste et l’apéro qui traîne) … bref, le bonheur en cocotte, facile !

Porc à la moutarde des Pandates
Pas de photo, batteries à plat
Pour 4 personnes
2 filets mignons de porc
1 bon verre de vin blanc sec (muscadet par ici)
2 échalottes
1 cuil à soupe de crème fraîche
1,5 cuil à soupe de moutarde à l’ancienne
facultatif : 1 cuil à café de maïzena

Eplucher et hacher les échalottes. Sortir la cocotte en fonte, la poser sur feu assez vif avec un bon morceau de beurre et les échalottes. Faire revenir les filets mignons sur toutes les faces.
Changer de feu et passer sur une flamme plus douce, ajouter le vin, sel, poivre, couvrir et laisser mijoter une vingtaine de minutes.
Au bout de ce temps, sortir la viande, la trancher en médaillons. Faire réduire la sauce sur feu vif, ajouter la crème et la moutarde, éventuellement ajouter la maïzena pour obtenir une sauce nappante.
Remettre les médaillons à réchauffer dans la sauce, servir avec de la purée de céleri.
Et accompagner de Aaron – U-turn (Lili)

Un dimanche de fête des mères

Avec dedans un peu de cuisine (mais je me suis faite servir, faut pas déconner non plus), beaucoup de bisous et un événement contrariant.
Je me disais aussi, trois jours de retard, on ne va pas se faire un film. Et puis, si, forcément un peu quand même. Surtout un jour comme celui-là. Elles auraient pu attendre, les bougresses. Alors le réveil en fanfare à 7h30, chercher partout les anti-inflammatoires (je ne bénirais jamais assez la gynéco qui a eu pitié de moi), et se dire que ce n’est pas encore pour cette fois. Petit dej blême et pas agréable pour le reste de l’assistance, et un bain (pas chaud le bain, brûlant … je me suis sentie écrevisse). Et le pur soulagement. Enfin, avoir le neurone disponible pour penser. Retrouver le sourire, aussi. L’envie d’être jolie pour les autres (pour moi, je serais bien allée m’enterrer quelque part, le temps d’oublier).
Et se dire que le combat n’est pas encore fini, qu’il reste quelques rounds, qu’il faut remonter sur le ring. Avoir le courage.

Un dessert des familles : le riz au lait

Un des délices du Panda le dimanche soir, quand on a bien fêté le week-end, c’est le riz au lait … un bon vieux dessert des familles, qui rappelle des goûters copieux avec une mamie gâteau (je caricature, mais presque pas ….). Ce soir, spécialement réussi, mon riz au lait a encore déchaîné l’enthousiasme de la foule (il est encore meilleur que celui de ma mère, si si je vous jure).
Pas de photo parce que … pas le courage, et franchement le riz au lait dans sa casserole ça n’a pas grand’chose de sexy 🙂

Riz au lait des familles
recette du Larousse de la cuisine
250 g de riz rond
1 litre de lait (entier c’est mieux)
1 gousse de vanille
50 g de beurre
100 g de sucre

Faire bouillir le riz 3 min dans 1,5 l d’eau bouillante. Faire bouillir le lait avec la vanille.
Egoutter le riz, le verser dans le lait bouillant (après avoir enlevé la gousse de vanille), ajouter le beurre et faire cuire à feu doux 15 min.
Ajouter le sucre et cuire à feu très doux pendant 20 à 30 min.
Déguster brûlant directement dans la casserole ou attendre un peu, c’est très bon tiède aussi. Et si jamais par miracle il en reste …. c’est délicieux froid au petit dej (en tout cas moi, j’adore).

Départ en vacances

Derniers préparatifs, recharger les batteries de l’appareil photo, de la caméra, attraper les cirés et empaqueter la turbulette.
Départ pour le Finistère Sud, 1 semaine. Au retour, probablement de nouvelles photos, et peut-être même quelques jolies recettes !

Kaena, la prophétie

Un merveilleux travail de création graphique, sur une histoire assez classique mais bien traitée. L’imagerie 3-D remplacera-t-elle un jour les acteurs de chair et d’os ? Ca aura au moins le mérite d’éviter les tortueuses histoires de coeur (encore que j’ai connu un ordinateur amoureux, mais c’était il y a longtemps).
Bref, étant particulièrement (voire exclusivement) fan de SF, j’ai forcément été attirée par l’idée, tant pour l’histoire que sa réalisation. En filigrane, l’ambiance musicale est assez travaillée, et colle bien à l’ambiance générale du film. Un bon moment.

C’est bloggable ….

Une bonne adresse pour manger sympa et pas trop cher après un ciné, c’est bloggable … non ?
Hier soir, Pandinou laissé aux grands-parents (au ‘voir Maman, des adieux déchirants quoi …) virée en ville, bouquins (forcément, ne jamais renier son ego), et ciné, puis resto. Au ciné, Spiderman 3, ça ne casse pas des briques mais c’est très divertissant (le test qui tue : vont-ils ressuciter le Bouffon Vert dans l’épisode 4, histoire de rester fidèle à l’esprit Marvel ?).
Puis, petit dîner bien sympathique au « Café Populaire », juste en face, de l’aitre côté des quais (encore qu’il y ait beaucoup à dire sur cette appellation de quais … la Vilaine est souterraine à cet endroit, donc appeler « quais » ce qui n’entoure qu’un parking, ça fait prétentieux). Décor sobre, ardoise, jolie carte de vins naturels (même si je suis loin d’être convaincue), menu raisonnable et vin au verre …. Je garde ça dans mon carnet !

Brochettes teriyaki

Je me rend compte (dans ma folie du rangement actuelle – ça ne va pas durer de toute façon) que j’ai envoyé la photo mais rien posté dessus … un gage (un de plus, même pas mal). Résultat d’une virée à Belasie, antre de perdition s’il en est ;-), une bouteille de marinade teriyaki (pas compliqué à faire soi-même, mais tellement pratique sous cette présentation …).
Au menu de ce soir là, donc, brochettes teriyaki et riz gluant particulièrement réussi.
Brochettes japonaises
Il faut :
des aiguillettes de poulet (sacrilège, je sais, mais la flemme c’est la flemme)
du citron vert (sicilia en bouteille, je cumule !)
quelque cuillères à soupe de marinade teriyaki
des graines de sésame (facultatif)
Faire mariner les aiguillettes de poulet 2 h à température ambiante dans la marinade additionnée de citron vert (environ 3/4 – 1/4). Confectionner les brochettes, les faire cuire à feu assez vif dans la poêle, la marinade va caraméliser. Servir saupoudré de graines de sésame et accompagné de riz gluant assaisonné de sauce de soja.
Pour la cuisson du riz gluant :
Faire tremper le riz dans l’eau pendant une dizaine d’heures. Le rincer. Le mettre dans une casserole, avec le même volume d’eau. Porter à ébullition, couvrir et couper le feu, laisser cuire à la vapeur pendant une quinzaine de minutes. Disposer dans des petits bols et arroser de sauce de soja.