Un dimanche de fête des mères

Avec dedans un peu de cuisine (mais je me suis faite servir, faut pas déconner non plus), beaucoup de bisous et un événement contrariant.
Je me disais aussi, trois jours de retard, on ne va pas se faire un film. Et puis, si, forcément un peu quand même. Surtout un jour comme celui-là. Elles auraient pu attendre, les bougresses. Alors le réveil en fanfare à 7h30, chercher partout les anti-inflammatoires (je ne bénirais jamais assez la gynéco qui a eu pitié de moi), et se dire que ce n’est pas encore pour cette fois. Petit dej blême et pas agréable pour le reste de l’assistance, et un bain (pas chaud le bain, brûlant … je me suis sentie écrevisse). Et le pur soulagement. Enfin, avoir le neurone disponible pour penser. Retrouver le sourire, aussi. L’envie d’être jolie pour les autres (pour moi, je serais bien allée m’enterrer quelque part, le temps d’oublier).
Et se dire que le combat n’est pas encore fini, qu’il reste quelques rounds, qu’il faut remonter sur le ring. Avoir le courage.

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