Clafoutis au chèvre et fines herbes


in « Flans, fars et clafoutis » chez Marabout
pour 4 personnes
4 oeufs
75 g de farine
50 cl de crème fra?che liquide
100 g de gruyère râpé
3 brins de cerfeuil
3 brins de persil
3 brins de ciboulette
1 b?che de chèvre cendré
sel, poivre

Préchauffez le four à 180? (th 6).
Dans un saladier, battez les oeufs en omelette, ajoutez progressivement la farine puis la crème liquide. Remuez énergiquement jusqu’à l’obtention d’une pâte liquide et homogène. Ajoutez le gruyère râpé.
Rincez les fines herbes, ciselez-les et ajoutez-les à la pâte. Mélangez, salez et poivrez.
Coupez la b?che de chèvre en rondelles.
Beurrez généreusement un plat et versez-y la pâte, puis dispersez les rondelles de chèvre sur le clafoutis.
Enfournez 20 min.
Laissez tiédir avant de servir.

Note : j’ai cuit ça dans un moule à manqué 24 cm, ça fait un clafoutis épais et très mo?lleux, mais il faut le cuire 15 à 20 min de plus. A essayer en entrée dans des moules individuels.

Petits pain d’épice au miel


in « Petits gâteaux » chez Marabout
Pour 50 petits pains
500 g de farine
150 g de sucre
125 g de beurre
75 g de noix grossièrement hachées
250 g de miel
2 oeufs
12 cl d’eau
1 cuil à café de bicarbonate de soude
1 cuil à café de cannelle moule
1 cuil à café d’anis moulu
1 cuil à café de clous de girofle pilés

Faites chauffer l’eau, rajoutez le miel et le sucre puis laissez frémir à feu doux pendant 1 min. Dans un saladier, mettez la farine et versez le mélange eau-miel ainsi que le beurre fondu. Travaillez tous les ingrédients pour obtenir une pâte souple.
Lorsque la pâte est froide, incorporez les oeufs, les noix, le bicarbonate de soude et les épices.
Formez une boule, entourez-la d’un film alimentaire et laissez reposer au réfrigérateur pendant une nuit.
Préchauffez le four à 160? (th 5/6).
Etalez la pâte sur une épaisseur de 5 mm environ et découpez-la à l’aide d’un emporte pièce.
Posez les petits biscuits sur la plaque du four tapissée de papier sulfurisé.
Enfournez pour 15 min.

Retour aux sources

Ceci est un post à caractère culinaire

Je me suis mis dans la t?te de faire mon pain. Réaction à la mode ? Maternité nourricière exacerbée ? Toujours est-il que c’est un plaisir à faire et un plaisir au go?t, finalement.
Plaisir de faire, le pain c’est tout simple, mais ça demande une certaine technique …. et du temps ! Mais le pétrissage est un moment hautement sensuel et très délassant.
Plaisir des yeux, moment magique de la levée, c’est toujours un petit miracle, m?me ? l’époque des plats inratables.
Plaisir des yeux encore, quand il sort du four, doré.
Autres plaisirs sensuels, l’odeur du pain qui sort du four, le craquant de la cro?te, le pain qui « chante » ? la sortie du four.
Plaisir du palais, du bon pain, de la tartine qu’on tranche pour accompagner un bol de café.
Satisfaction de se dire qu’on est capable de faire ce met si symbolique !
Plaisirs simples ? Oui et non …

La mer, qu’on voit danser ….

Envie de voyage, de ligne d’horizon, d’embruns, d’espace plein les yeux.
De retour au port en chantant, de départ à la voile au petit matin, dans la calme perspective d’une belle journée en mer. De délire profond les jours de pétole, d’impression grisante de vitesse au portant.
D’un phare émergeant du brouillard.
D’une ?le, dernier rempart avant l’océan.
Descendante de vikings je suis, descendante de vikings je reste.

Crumble aux pommes caramélisées


Une petite impro ….
Pour 2 personnes
* 3 ou 4 pommes
* 1 cuil à soupe de cassonnade
* 10 g de beurre
* cannelle
* 50 g de cerneaux de noix (facultatifs)
Miettes
* 40 g de farine
* 50 g de beurre
* 40 g de flocons d’avoine
* 30 g de cassonnade
1. Pelez et épénier les pommes. Les couper en petits morceaux. Les mettre à caraméliser avec le beurre et la cassonnade.
2. Préparer les miettes : dans un saladier, mélanger la farine, le beurre en petits morceaux, les flocons d’avoine et la cassonnade. Emietter du bout des doigts pour obtenir une consistance sableuse.
3. Disposer les morceaux de pommes caramélisés dans un grand plat ou des petits. Poudrer d’un voile de cannelle, ajouter les noix grossièrement concassées. Recouvrir des miettes.
4. Passer au four à 160? (180? tradi) juqsu’à ce que le dessus soit doré (environ 20 à 25 min).

In the mood for …

Dans la rue des tenues charmantes
Maquille comme mon fiancé
Garcon, fille l’allure stupéfiante
Habille comme ma fiancée
Cheveux longs, cheveux blonds colorés
Toute nue dans une bo?te en fer
Il est belle, il est beau decrié
L’outragé mais j’en ai rien a faire
J’ai pas envie de la voir nue
J’ai pas envie de le voir nu
Et j’aime cette fille aux cheveux longs
Et ce garcon qui pourrait dire non!
Et on se prend la main
Et on se prend la main
Une fille au masculin
Un garcon au feminin
Et eux ne valaient rien
Et eux ne valaient rien
Et on n’en a plus besoin
Et on n’en a plus besoin
Des visages dans des cheveux d’or
Qui… oublient leur vertu
« Mais c’est pas vrai »
Qu’ils ont l’air d’un conquistador
Asexués une fois dév?tus
Qui croire quand on les voit comme ca
Excitant toutes les petites filles
Pourquoi on n’y croit plus comme ca
Isolé dans un corps presqu’il
On se prend la main
Et on se prend la main
Des garcons au feminin
Des filles au masculin
Des robes longues pour tous les garcons
Habillés comme ma fiancée
Pour des filles sans contrefaçons
Maquillées comme mon fiancé
Le grand choc pour les plus vicieux
C’est bientot la chasse aux sorcières
Ambig?e jusqu’au fond des yeux
Le retour de Jupiter
Et j’aime cette fille aux cheveux longs
Et ce garcon qui pourrait dire non!
J’ai pas envie de la voir nue
J’ai pas envie de le voir nu
Hey, hey
On se prend la main
Et on se prend la main
Des garcons au feminin
Des filles au masculin
Et on se prend la main
Et on se prend la main
Des garcons au feminin
Des filles au masculin
Et on se prend la main
Et on se prend la main
Des filles au masculin
Des garcons au feminin
Et on se prend la main
Et on se prend la main
Des garcons au feminin
Des filles au masculin

Indochine – 3è sexe

What did you blog today ?

Comme je ne vais pas ajouter à la sinistrose ambiante avec des références plus ou moins documentées concernant les voitures qui crament dans les banlieues (m?me rennaises), un autre petit sujet d’actualité : les Rois Maudits, nouvelle mouture.
Précisons d’abord que je suis une grande fan de la première version, tournée en 1972 par Claude Brama. Certes, on peut objecter le minimalisme des décors, la façon curieuse de filmer ce livre (car c’est vraiment ce qui ressort de cette adaptation), cette version est cultissime, que dis-je, c’est un monument de la culture télévisuelle française ! Mais je m’emballe. La qualité du jeu des acteurs, les acteurs eux-m?mes (certians étaient déjà des monuments) font que cette première version est un incontournable.
Maintenant, que dire de cette nouvelle mouture ? Certes, je n’ai vu que le premier épisode, mais il permet de se faire une première impression … Pour les principaux personnages, celui qui à mon sens manque un peu de carrure par rapport à son prédécesseur est Robert d’Artois. Le challenge était difficile, Jean Piat a imprimé sa marque au rôle, mais Philippe Torreton s’en sort pas mal finalement. Pour le reste, le banquier lombard Tolomei manque de cette rondeur imprimée par Louis Seigner, mais c’est un détail.
Bref, impression plutôt positive, mais elle ne me fera pas oublier la première adaptation.

Soupe potiron / châtaignes

Une improvisation à partir de plusieurs recettes.
1 kg de potiron épluché et coupés en dés
15 à 20 châtaignes (j’utilise des marrons pelés au feu de bois de chez Champion, mais des marrons au naturel doivent aller aussi)
1 oignon
2 Kub’Or (j’en ai acheté pour faire une recette d’Ipanama et maintenant j’en colle partout)
1,5 l d’eau

Faire blondir l’oignon émincé dans un peu de beurre. Ajouter les châtaignes pelées et faire revenir quelques instants.
Ajouter l’eau et les Kub’Or et portez à frémissements. Laisser frémir 20 min.
Ajouter le potiron, saler, poivrer. Laisser à nouveau cuire une vingtaine de minutes, jusqu’à ce que le potiron soit fondant.
Mixer, rectifier l’assaisonnement.

Note : j’adore les chataignes, j’en ai mis une vingtaine … pour ceux qui préfèrent le potiron, on peu réduire à une dizaine, pour la consistance et le parfum.
Note 2 : j’ai utilisé de la courge musquée. A voir avec du potimarron ou un autre type de courge.
Note 3 : pour une soupe plus gourmande, ajouter des petits lardons revenus sur la soupe au moment de servir.

Un nouveau disque

Pas mal du tout le dernier Bénabar. Egal à lui m?me, petits rien du quotidien, entre moquerie et r?verie douce-amère. Un peu peur qu’il ait attrapé la grosse t?te, mais non. Juste un peu plus abouti que le premier album (bouclé en 1 semaine), mais il a gardé la fra?cheur de l’instantané.
A écouter en boucle.