Star's End

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Ayé, torché le tome 10 de l’Assassin Royal.
Je ne suis pas « rentable » en terme de lecture, un poche ne tient pas un week-end, pour peu qu’il soit assez passionnant. De plus, j’attendais de lire ce 10è tome avec grande impatience, les aventures de FitzChevalerie Loinvoyant me tiennent en haleine depuis … un moment déjà .
Les tomes 8 et 9 m’avaient laissé un go?t d’inachevé, on sentait les étapes de transition, l’auteur tirait un peu la ligne, mais là , c’est reparti pour un tour, on reparle de dragons (hé oui, j’aime la fantasy), d’Art et de Vif ….
Il sort quand, le prochain tome, déjà ?

En cuisine, j’ai depuis toujours l’impression de débuter. Salutaire, para?t-il, ça évite de se prendre la grosse t?te. Oui, mais bon. Ca évite aussi de se lancer dans des trucs plus compliqués, ou dans l’impro.
Belle introduction, non ?
Toujours est-il que je me suis lancée pour un fois dans de l’impro. Ingrédients dispo : des feuilles de lasagnes, des poireaux, des pavés de saumon, du chèvre frais (et diverses autres choses).
Après avoir surfé sur le net, sans trouver vraiment de recette adaptée, j’ai mixé plusieurs choses en espérant arriver à un truc mangeable (si possible) voire bon (on peut toujours r?ver).
J’ai donc coupé les poireaux en rondelles, et je les ai mis à cuire 5 min dans le panier vapeur de l’autocuiseur. J’ai remplacé les poireaux par les pavés de saumon et zou, m?me traitement.
Pendant ce temps j’ai précuit à l’eau mes feuilles de lasagne (c’est ma seule erreur, je n’ai pas fait confiance au paquet, voir note en bas du post). Dans un grand bol, j’ai mélangé le fromage de chèvre avec du lait (à défaut de crème liquide) pour obtenir une consistance genre fromage blanc, puis salé poivré.
Tous ces éléments réunis, j’ai monté mes lasagnes avec force jurons (les lasagnes qui ne sont pas destinées à ?tre précuites à l’eau c’est un vrai m*rdier à récupérer).
Bilan : pas de photo, ce n’était pas présentable, mais c’était fort bon.
Note de conclusion : *lire* et croire ce qui est sur le paquet. J’ai préféré faire précuire, parce que je n’avais pas l’intention de faire de béchamel (je n’aime pas ça). Du coup j’ai eu peur que les lasagnes ne cuisent pas assez. En fait, mon plat avait rendu largement assez d’eau pour cuire des pâtes, et du coup les lasagnes étaient un peu trop cuites. Je garde le principe pour l’améliorer …..

Le nasi goreng, ou riz à l’indonésienne, que l’on trouvait il y a quelques années dans la marque SuziWan. J’adorais ce riz parfumé, que belle maman faisait souvent pour accompagner des morceaux de poulet au barbecue … bref, une recette issue de mon forum de prédilection (je ne sais pas pour combien de temps encore, mais c’est un autre sujet), notée il y a très longtemps, et réalisée hier soir ….
1. On cuit 4 à 6 portions de riz selon le mode d’emploi(basmati ou riz long et on réserve.
2. On décortique des crevettes (au moins 1 kg pour avoir 100 g! ) on émince 2 blancs de poulet en lanières, on hache un oignon assez finement. On émince du chou blanc avec la mandoline(un bol environ). on coupe en dés 3 ou 4 tranches d’ananas (facult.) On réserve tout ca séparément.
3. Ensuite on fait revenir l’oignon à l’huile, transparent, on y ajoute le poulet à cuire aussi 5 min en remuant, feu moyen. On met une cs de poudre de curry et 2 cs de sauce soja Kikkoman, on saupoudre de paprika (1 cc environ ou plus)on rajoute le chou et on laisse cuire encore un peu le temps que le chou soit assez tendre. Ajouter les crevettes, mélanger, puis en dernier le riz tout en mélangeant le tout.
4. On ajoute une giclée de sauce soja avant de servir et on saupoudre de coriandre hachée.
5. A table, servir avec curry en poudre et chili sauce. Il est excellent le lendemain également.
Je confirme, très bon réchauffé. Il m’en reste m?me assez pour tenter la congélation.

Il est navrant de constater que la loi du plus fort est souvent la meilleure …. Dans cet article je suis navrée de constater que le progrès en matière de liberté d’expression ne fait pas vraiment le poids face aux $$$ ….

Pas motivée pour bosser, les rires d’enfant plein la t?te, la joie des personnes, une belle chasse aux oeufs en chocolat entre les gouttes ….. par moments je me demande ce que je fais là .

On se dit que c’est beau la modernitude (oui, je sais, le terme n’existe pas, mais c’est pas grave on va dire que c’est la contraction de moderne-attitude). Bref, pendant que je vous écris, là , tout de suite, y’a un bon pain qui se fait tout seul dans ma cuisine, à 20 km d’ici.
Ou bien je suis la seule à trouver ça rigolo ?

Ben oui, j’avoue, je suis toquée …
Le diable, c’est un truc que j’ai envie d’essayer depuis longtemps, je trouve ça marrant comme principe. En plus, il était en promo lors de ma dernière commande chez Mathon. Du coup, j’ai craqué. Je l’ai reçu la semaine dernière, et pour l’instant je me documente sur le sujet … Mon « inoxydable alter ego » a pris le m?me et attend avec impatience mes recettes testées et approuvées … quelle pression !

La cuisine bistrot, y’a pas, quel régal ….
A ce sujet, je vais ajouter sur ma wishlist ce livre : Les 200 meilleures recettes de bistrot de Patricia Wells. Au passage, quoi. Genre, si vous le voyez, pensez à moi. Genre en plus c’est bientôt mon anniv …. Bon, tr?ve de plaisanteries …. au menu de ce soir, les harengs pommes à l’huile. Un des plats favoris de Panda, et un de mes jockers quand vraiment je n’ai plus d’idées.
Recette tirée de ma bible culinaire : le Larousse de la cuisine, que m’a offert Belle-Môman quand on s’est installé ensemble … mais non, elle n’avait pas peur que son fiston dépérisse, elle voulait juste que je lui rende le sien 🙂

Pour 4 personnes
Préparation 20 min
Cuisson 25 min
* 800 g de pommes de terre
* 1 cuil à soupe de vin blanc
* 2 oignons
* 8 filets de harengs saurs à l’huile
* 6 cuil à soupe d’huile
* 3 cuil à soupe de vinaigre de vin blanc
* 1 cuil à soupe de ciboulette hachée
* sel
* poivre noir du moulin
1. Faites cuire les pommes de terre non pelée à l’eau bouillante 20 à 25 min. Egouttez-les et pelez-les dès que vous pouvez les saisir avec les doigts dans vous br?ler. Coupez-les en rondelles épaisses. Arrosez-les aussitôt de vin blanc, salez et poivrez.
2. Pelez les oignons, coupez-les en tranches fines et défaites-les en anneaux. Egouttez les filets de harengs. Préparez une vinaigrette avec l’huile, le vinaigre, du sel et du poivre.
3. Assaisonnez les pommes de terre avec la vinaigrette et répartissez-les dans des assiettes de service. Ajoutez 2 filets de hareng par assiette et paersemez de ciboulette. Servez aussitôt.
Notes : La salade est bien meilleure si les pommes de terre sont tièdes.
Boisson : muscadet ou bière blonde

La cuisson en cro?te de sel est une des plus ludiques qui soit à mon avis. Patouiller avec du gros sel, mettre au four et « casser la cro?te » une fois à table, c’est clair que ça en jette !
Voici un poulet en coque de sel, délicieusement mo?lleux et salé à point :
Le poulet en coque de sel (cuisine actuelle 11-2002)
Pour 6 personnes
Allumez le four th 6-7 (200). Frottez un gros morceau de pain rassis avec 1 gousse d’ail pelée. Détaillez en douze cro?tons, arrosezz-les d’un filet d’huile d’olive.
Glissez les cro?tons dans un poulet fermier d’1,8 kg.Farcissez avec 3 gousses d’ail pelées et taillées en 2 et un bouquet de romarin (thym en ce qui me concerne). Cousez l’ouverture avec de la ficelle de cuisine. Ficelez les pattes avec le croupion.
Tapissez une cocotte avec du papier sulfurisé (ou alu, ça marche aussi). Etalez-y 1 kg de gros sel marin. Posez le poulet au milieu, recouvrez avec 2 kg de gros sel en tassant bien (la quantité de sel varie selon la taille de la cocotte).
Faire cuire 1h30 à découvert. La coque de sel se solidifie avec la chaleur.
Sortir la cocotte du four, retirer la coque de sel grâce au papier et la casser. Dégagez le poulet et parsemez-le de poivre.
Découpez le poulet, présentez-le avec ses cro?tons aillés.

J’ai accompagné mon poulet d’une sauce aux canneberges, recette trouvée sur le blog Le hamburger et le croissant :
Ingredients pour quatre petits appetits
* 500 mL (soit 2 cups) de canneberges fraiches
* le zeste et le jus d’une orange non traitee
* 1/4 cup de sucre en poudre
* un baton de cannelle
1. Dans une petite casserole, melanger le jus d’orange, le zeste, le sucre et le baton de cannelle. Porter a ebullition puis ajouter les canneberges. Laisser mijoter a feu moyen jusqu’a ce que les baies eclatent (elles vont faire « pop » !) et que la sauce epaississe, une dizaine de minutes environ.
2. Verser la sauce dans un bol et laisser refroidir avant de servir. La sauce se deguste tiede en accompagnement de volaille.