Il y a quelque chose de grisant à bosser la première quinzaine d’ao?t. D’abord, y’a personne sur la route, on gagne facile 10 minutes sur le temps de trajet. Ensuite, vu qu’il n’y a pas grand’monde au boulot (les 3/4 des bureaux sont vides), on a le temps de bavarder, de ne rien faire, de prendre 25 cafés (et donc de faire 25 pauses) dans la journée. On découvre ses collègues (ceux qui sont la, ndlr) sous un autre jour, plus cool. Pour un peu, on irait à la plage, on se fait une terrasse, y’a le temps, de toute façon personne n’est là pour contrôler l’heure à laquelle on rentre.
Ce midi, terrasse avec une partie du fan-club.
Ici commence le rêve