Le vrai challenge de l’écrivain, c’est de savoir garder ses lecteurs en haleine, et savoir se renouveller ….
Je commence ici a voir ce que peut représenter l’angoisse de la page blanche. L’impression d’être attendue, et la peur de décevoir.
D’un côté cependant, ça m’occupe l’esprit (j’ai résisté à l’envie de mettre un compte à rebours, grande victoire), mais ça devient obsédant.
Serais-je blog-addict ?