De la douleur

Petite réflexion en passant … je suis de l’avis général assez dure à la douleur (en m?me temps, il para?t que les coliques néphrétiques sont un bon entra?nement), cependant j’ai toujours l’impression fugace d’accéder à un plan supérieur de l’existence quand cesse une douleur. Effectivement, l’injection de morphine en pleine crise est un bon exemple, mais la morphine plongeant presque immédiatement le cerveau dans le coaltard, ça reste très indécis. Non, tout simplement l’aspirine quand on a le crâne pr?t à exploser, ou la très classique bouillote chaude pendant les règles, et l’effet de soulagement quasi immédiat, l’impression d’avoir les idées qui s’éclaircissent, le sourire qui revient, on se met à apprécier les petites choses de l’existence ….

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