Je déteste l’été. Encore plus que les autres, c’est la saison du paraître, du diktat de l’apparence. Entendons-nous bien, j’assume mon état de non-mince. Je n’ai pas dit grosse, c’est le mieux-disant culturel. En plus ce serait inexact. Je n’ai juste pas la morpholigie requise pour les pantalons taille basse en 36 et le top avec le ventre apparent. Cependant, déception ce matin en sélectionnant les fringues de la journée, y’a plein de trucs dans lesquels je ne rentre plus. Ce qui me met, forcément, dans une humeur noire, me précipite dans les abîmes d’un désespoir sans appel. Bref, j’ai la haine.
Vivement l’hiver.
Ben dis donc tout ça pour des fringues…
moua, j'ai les boules paske Y FAIT CHAUD