Ce soir, je sais quand je passe sur le billard (c’était pas clair dans le post précédent, mais j’ai pas les idées très claires en ce moment). Ce soir, je sais comment va se passer l’examen. Suis-je sûre d’avoir envie de savoir ? Il faut parfois mieux ignorer – ça évite de se faire des films. J’ai un papier qui explique tout ça, avec des photos et tout et tout, mais franchement j’ai pas envie de regarder. Juste de savoir 1) si ça fait mal au réveil 2) si ça a une chance de réparer la tuyauterie. Rien qu’une, ça me suffit. Juste pour entretenir l’espoir. Parce, mine de rien, ça fait bientôt 4 ans qu’on y travaille, Panda et moi. Alors, bon, on commence à s’impatienter un peu. Juste un peu. Mais on y a gagné des choses quand même. Comme dirait Panda, il est fort ce gosse. Avant d’être là, il a déjà changé ses parents. On arrive à imaginer ce que fait l’arrivée d’un bébé dans un couple. On imagine déjà beaucoup moins ce que peut provoquer la non-arrivée. Bouh, je suis d’humeur bavarde ce matin. Sur ce , on va commencer les exercices de yoga.