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Et oui, les vacances ont été super, reposantes, intéressantes et tout et tout.
Je ne reviens pas les mains vides, tout de même, mais avec une petite chronique littéraire, oh rien de bien étoffé, mais j’ai été vraiment impressionnée par le dernier Bordage. En fait, par les 2 derniers, L’évangile du Serpent et L’Ange de l’Abîme.
Toujours ce même style envoutant, prenant, parfois cru et souvent réaliste.
Toujours cet avenir dépeint en nuances de noir … désespérant et désespéré, avec, en ligne de mire, les débordements de notre époque névrosée.
Et toujours, la note finale qui redonne l’espoir, qui rebondit sur un futur possible, plus heureux, plus optimiste.
Ces deux ouvrages débutent une trilogie, relecture des Evangiles, puis relecture de l’Apocalypse, j’attend avec impatience le dernier tome (et pas dans 3 ans, merci). Lire à ce sujet l’interview de Bordage sur le Cafard Cosmique.
Tout comme j’avais adoré Les Derniers Hommes et la saga Les Guerriers du Silence, dans un tout autre style j’adore L’évangile du Serpent et L’Ange de l’Abîme.