Hier soir, Kéréon, dernier phare français de pleine mer encore habité a été mécanisé.
C’est un peu la fin d’un mythe.
La vie de gardien de phare n’a rien de facile, mais elle représentait (et représente probablement toujours) une forme de rêve pour certains « terriens ». La solitude face aux éléments déchaînés, ils étaient les garants de la vie de nombreux marins approchant des côtes traîtresses. Poste avancé dans la tempête, leur construction a (presque) toujours été un défi à la nature. La vie de ces hommes, solitaires forcément, un peu fous, mais prodigieusement dévoués, a quelque chose de fascinant.
Kéréon protège une zone située entre Molène et Ouessant, un des endroits les plus mal pavés au monde. Mais aujourd’hui il a perdu son âme.
Ici commence le rêve
C'est vrai que c'est triste commme histoire.
Je suis un Réac j'aime pas la modernité….
bah … y'a bien un admin système qui doit piloter ce machin à distance, ou au moins en surveiller le bon fonctionnement 🙂 HuMaN RuL3Z