Pourvu que, pourvu que ….

Une fois de plus, je prend mon calendrier avec circonspection … Pour cette fois ou pour la suivante ? Attente récompensée ou pas ?
Pas d’angoisse véritable, j’y crois maintenant. Mais une large appréhension cependant. Un truc, au bord des pensées, qui reste, incessant et inévitable. Pas d’oblitération, plus de monomanie. Je me débarasse lentement de mes peurs, de mes hésitations.
Je ne connaîtrai pas la peur, car la peur tue l’esprit. La peur est la petite mort qui conduit à l’oblitération totale. J’affronterai ma peur. Je lui permettrai de passer sur moi, au travers de moi. Et lorsqu’elle sera passée, je tournerai mon oeil intérieur sur mon chemin. Et là où elle sera passée, il n’y aura plus rien. Rien que moi. (Franck Herbert, Dune)
Et vivre.

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