Axiome : J’aime la période de No&etrema;l.
Analyse : Plusieurs choses …. D’abord, et définitivement, la semaine qui précède No&etrema;l est pour moi pleine de souvenirs, de joies simples et de bonheur en famille. Qu’on se le dise, je suis restée une grande enfant. Les lumières, les vitrines, les chocolats, les yeux qui brillent me font toujours un pincement au coeur, et réveillent une petite fille avec des couettes (si, si). Ensuite, il y a quelque chose dans l’air, que même les maketeurs fous ne peuvent reproduire. Le meilleur moment, c’est cette attente, à essayer de ne pas s’endormir, à guetter le moindre bruit, et finalement se réveiller le matin, tôt, avant toute la maisonnée et courir au pied du sapin. Après, la magie est terminée. Pour terminer, il y a quelques scènes précises …. un vélo monté une fin de réveillon, l’esprit embrumé par la fête, un verre de cognac à la main, par mon père pour ma petite cousine qui dormait à l’étage au-dessus. Le premier No&etrema;l d’un petit cousin. Le dernier No&etrema;l passé avec mon grand-père décédé. Un No&etrema;l pas si vieux passé en amoureux. Du bonheur en gros bouts.
Et non, je ne veux pas grandir.