Star's End

Revoir des copains très chers, et apprendre par la suite qu’ils ont aussi eu des « déboires conceptionnels », c’est difficile. On se sent plus proche, d’un coup. On a envie d’aider, de compatir, d’offrir une épaule.
Sentir qu’il y a une compréhension de part et d’autre, se soutenir.
C’est beau l’amitié.

Mon moral joue les montagnes russes, dans le 36è dessous vendredi, au top après un excellentissime week-end.
Samedi en ville, des bouquins très intéressants. Samedi soir, revoir des copains très chers, qu’on ne voit pas assez souvent …. et dimanche en mer à la Trinité sur Mer, ballade sous Kerisper et dans la ria de St Phi.
Tout va mieux !

La déception roule en larmes sur mes joues, un boule dans la gorge.
Ca marchera la prochaine fois, me murmure-t-il à l’oreille.
Oui, ça marchera un jour. Fatalement.

Tri martolod yaouank (tra la la, la di ga dra)
Tri martolod yaouank o voned da veaji?
Tri martolod yaouank (tra la la, la di ga dra)
Tri martolod yaouank o voned da veaji?
O voned da veaji? ge, o voned da veaji? (bis)

Je sais, je ne connais pas les paroles ……

Un grand moment de bretonnitude, pour moi qui ne suis ici que par opportunité professionnelle (ne pas travailler à Paris, mais j’y reviendrais) : le concert d’Alan Stivell.
Stivell, avec ses harpes celtiques, ses chansons dont tout le monde connaît l’air, mais peu les paroles.
Les notes tombent comme des gouttes de pluie sur une vitre, évidentes, à l’envi tristes ou gaies.
Un final à deux rappels (mais il est un peu en terrain conquis), et un déchaînement sur Tri Martolod, toujours un grand bonheur.
Il y avait les brumes d’Avalon, les falaises d’Irlande et le mystère de Brocéliande hier soir dans la salle du TNB. Et chacun de s’en retourner avec un peu de Breizh dans le coeur !

On a appris hier soir le de Robert Merle. A 95 ans, il avait publié le 13è (et donc dernier) tome de la saga « Fortune de France ». C’est cette série qui m’a faite aimer les romans historiques. Il avait un authentique talent de conteur, et une érudition impressionnante.
La famille de Siorac a perdu son père.
So long, chap !

Ce soir, dans sa soirée « Essentiels », la chaîne Planète proposait des documentaires sur l’Ile de Pâques.
J’ai toujours été fascinée par l’histoire de cette civilisation. Comment ne pas s’imaginer seul au monde sur un bout de volcan au beau milieu de l’océan ?
Il est extraordinaire de penser que le mystère de cette civilisation, de ses moais et sa société antique.
Un jour, j’irais là bas, pour m’imprégner de l’atmosphère de ce lieu ….

Mes créations sont vues et appréciées.

Les Français gagnent le tournoi des VI Nations, et ajoutent un grand chelem à leur palmarès (lire ici). Le Kaiser est content, mais va quand même les engueuler (ils nous ont fait peur en seconde mi-temps, tout de même). Les Anglais sont battus, l’honneur est retrouvé (gniark gniark).
Betsen a une tête de Klingon pas réveillé.

Voilà que je ne poste plus qu’un jour sur deux …