J’ai commencé la semaine derni-re un traitement d’induction de l’ovulation. Juste pour voir la réponse du corps. Ce week-end, donc, piqûres en série, et ce matin prise de sang et écho. Diagnostic de base : ovaires polykystiques. Un mot barbare qui désigne une inflammation des ovaires. Qui sont donc incapables (ou très peu capables) de fabriquer un ovule valable. Chances de tomber enceinte : à peu près nulles. Je suis donc à la fois soulagée et amère. Soulagée, parce qu’il y a un mot, un nom, aussi barbare soit-il à la place de « infertilité inexpliquée ». Amère, parce que le diagnostic aurait pu être fait il y a 4 ans déjà. Pas de colère, plus de colère. Juste de l’amertume. Le cas n’est pas désespéré, loin de là, je peux même presque voir le bout du tunnel. En attendant, tout est noir.
Musique
Le DVD a pour moi une utilisation majeure : les concerts. Plus que les films, j’aime voir des concerts. J’en ai quelques uns, la collection s’étoffe : Mylène, M, U2, Alain Souchon, Laurent Voulzy, Cabrel, et aujourd’hui Queen, live à Wembley. Mythique, non ?
Bon, fallait bien ça pour me remettre de ma piqûre {8} (j’aime pas les piqûres, mais pas du tout).
Ah oui, j’ai aussi terminé L’épée de feu. Ben c’est malin, maintenant j’attend la suite ! Heureusement, j’ai quelques bouquins à lire en attendant !
Friday Five
Une fois n’est pas coutume, je fais un petit Friday Five, et merci Arlequin de me l’avoir fait connaître :
1. Is the name you have now the same name that’s on your birth certificate? If not, what’s changed?
Pas de changement. Je suis fière de mes nom et prénoms, je ne les changerais pas.
2. If you could change your name (first, middle and/or last), what would it be?
Je crois que je ne changerais rien du tout.
3. Why were you named what you were? (Is there a story behind it? Who specifically was responsible for naming you?)
Mon prénom me vient de mon arrière-grand-mère qui le tenait elle même de sa tante. Un prénom qui a de l’histoire dans la famille. Quant au nom, il a des originies scandinaves, et ça me plaît !
4. Are there any names you really hate or love? What are they and why?
Pas le prénom ou le nom en lui-même, mais si je déteste une personne, son prénom est pour moi associé à un mauvais souvenir.
5. Is the analysis of your name at kabalarians.com accurate? How or how isn’t it?
Pandate n’existe pas, l’analyse est donc sortie pour mon *vrai* prénom, merci à ceux qui le connaissent de ne pas le donner 😉
Your name of **** gives you a clever mind, good business judgment, a sense of responsibility, and an appreciation of the finer things of life. You are serious-minded and not inclined to make light of things even in little ways, and in your younger years you had more mature interests than others your age. Home and family mean a great deal to you and it is natural that you should desire the security of a peaceful, settled home environment where you can enjoy the companionship of family and friends. Whatever you set out to accomplish you do your very best to complete in accordance with what you consider to be right. In the home you assume your responsibilities capably, having the self-confidence to form your own opinions and make your own decisions. Others can rely on you; once you have given your word you will do your utmost to fulfil a responsibility. However, there is a tendency to be a little too independent in your thinking and it is difficult for you to accept the help of others when you should.
Bon week-end !
Actualité
J’ai entendu ce matin aux infos un truc qui m’a sidérée : une personne, qui n’avait pas les moyens de payer son billet de train, se voit coller un procès aux fesses pour « habitude de fraude », et tout le monde s’en indigne. Ben pas moi. Désolée, mais dans ce cas là, le gars lambda qui, n’ayant pas les moyens de se payer le train, ne voyage pas, ben celui là est trop con. Il y a suffisament d’aides, d’organismes, de tarifs préférentiels, d’autres solutions pour NE PAS s’indigner quand on se trouve puni pour les fautes que l’on commet. C’est trop facile sinon ! Vous imaginez, vous, dans le train : « Madame, vous n’avez pas de billet » « Ah non, mais je ne peux pas le payer » « Ah bon, alors c’est bon » Surréaliste, non ? Marre de ces assistés.
Mieux
La forme est meilleure. Après m’être shootée aux médocs en tous genre pour faire passer ces p****** de douleurs, aujourd’hui ça va mieux. Bon, ok, je viens aussi de prendre rendez-vous pour une série de piqûres (aïe !) mais l’esport et l’optimisme sont là. On ne sait pas, ça peut aussi marcher.
Discours
Vu le traitement que je suis et l’état dans lequel je me trouve, ne vous inquitez pas des discours que je peux tenir. Tout n’est pas entièrement de ma faute.
Les cousins de province
Ce week-end, j’étais à un mariage de cousins de province. Des vrais. Qui habitent en rase campagne, au milieu des champs, très bucolique. Qui ont des copains (bretons, tout de même, donc arsouilles, et pas qu’un peu) qui concoctent une voiture balai du plus mauvais goût possible (non, je pense qu’on peut trouver pire, mais c’est dur). Qui organisent des jeux plus débiles les uns que les autres pendant le dîner. Et en plus, qui picolent. Bref, vous l’aurez tous compris, je déteste. Les esprits chagrins diront que je suis une chieuse. Ils n’ont pas tort, mais ce n’est pas le sujet. J’estime que c’est mon droit de ne pas aimer. Voire de ne pas avoir envie de participer. Ni même de rire. Je trouve que j’ai déjà fait preuve de bonne volonté quand j’ai renoncé à une réplique cinglante à mon abruti de voisin quand il m’a envoyé du vin sur mon cache-coeur fushia. De toute façon, il n’était plus en état de comprendre. Je ne suis pas du tout cliente de ce genre de soirée. C’est même une des raisons qui font que je n’ai pas envie de me marier. Qui sait ce que des copains au demeurant normaux peuvent inventer pour « plaisanter ». Non, décidément, j’avais l’impression de débouler de la planète Mars en soucoupe. Et j’ai préféré sécher le retour de mariage (le lendemain, quoi), plutôt que de risquer une bourde. Au final, j’ai adoré le brunch à 12h30 et les crêpes en face du Grand-Bé à 19h30.
Ennui
Horrible. Vivement le week-end. Pourtant, j’étais plutôt guillerette ce matin. Enfin, juste avant de me lever (la Pandate aime dormir). Ensuite, j’ai glissé un oeil hors de la couette et des bras de mon Panda pour voir le temps. Ah, il pleut. Ca faisait longtemps. Bon, tant pis, il faut y aller. 1 bol de céréales, un jus de fruit, 2 biscottes et une tasse de thé plus tard, me voilà sous la douche. Jusque là, ça va. Sur la rocade, pas trop de monde (c’est vendredi). Au bureau, ça se gâte. Ca pète dans tous les coins, mais la routine. Ce midi, direction la FNAC (le dernier Trône de Fer vient de paraître {16} ). Repérage de tenues pour l’automne. Et retour. Et depuis, plus rien. L’ennui mortel d’un après midi. Merci piv1 de me tenir compagnie.
Y’a des jours comme ça …
… où on ferait mieux de rester couché ! Ce matin, galère devant la penderie : j’attrape un chemisier, il était décousu, un autre, un bouton manquait, un troisième, mal repassé. Total, je suis arrivée au boulot à 9h20, en colère, et en plus mon abruti de chef commence par m’agresser dans le couloir, alors que je n’ai même pas encore booté mon PC !
La vie de Pandate, pleine de contrariétés ….
Surf
Le lien du jour : Un jour dans la vie …. un projet original : un photographe, pro ou amateur est sélectionné, et doit envoyer 4 photos à 4 moments d’une journée. Grosse majorité de Français, mais tous les pays (ou presque) sont représentés. A qui le tour ?